sexta-feira, abril 08, 2005

do baú do Frei: une lettre d'amour insensé

(Mon français c’est seulement ‘mon français’, elle est badin et je ne possède bien la langue française. La grammaire c’est le gros problème, mais je pense que tu pouvais me comprendre, et que j’avais dire-toi toutes les bonnes choses que mon pleurent cœur et mon allumée corps appellent de raconter… les paroles raffolés que vous lire ensuivant sont dictées pour un cerveau malade de fou pour vous, ma belle désir nommé S……. !)

Ma chère petite dame normande :

Dans le derrière dimanche, je te regarde avec paisson, et strictement pour suffoqué faiblesse je ne t’embrasse pas avec le chaleur que mon corps réclame – et que tenait pour toi.

C’est vrai, ma petite, et c’est avec tout ma tendresse que j’écrit cette lettre déraisonnable pour toi, aux je nomme à la union de nous corps, j’appelle a nous physiques pour boire le poison de la paisson animaux (malgré cela Newton, s’il vous plait…).

Je regard ton effigie avec étonnant douceur et, dans mes proches rêves plus remarquables, je t'incendie avec mes bras assoiffés, demande le adoucissement de ton corps à lignes fuyantes, cette vraiment ‘corps du délit’ humaine…
Oh la la!

… § …


Balzac, dans « La femme a trente ans », n'écrit pas tout la vérité verse votre sublime corps et votre angélique physionomie, parce qu’il n’avait pas l’étoile de vivre aujourd’hui et de te connaître dans tout ton plaisant fraîcheur.

Je pense, aussi, que Bush et ses muchachos être au filet de requête les ‘nuclear weapons’ aux Irak, parce qu’elles sont déjà a X., … et vous être la étonnante porteur! ;-))

… § …


Un jour très distant, une veillée gitane m’a dit qui j’avérais le plus succulent sexe avec une belle étrange…

Aujourd’hui, je spécule en conscience qu’elle s’appelle S……. et que c’est toi-même… Quittez les prophètes joindre leur chemin, laissez les rêves attendre la réalité, et, avec confiance et joie de vivre, délaisse votre merveilleuse candeur dans mes bras !

Sur le bout du doigt, je vous dit encore, que dans une chambre seulement pour nous deux, j’avais la possibilité de faire parler de goût votre sensible corps, avec doigté sagesse et un mer de petit baissés malicieux.


… § …


Et alors, est que tu avais la démangeaison de découvrir tout que j’avais à la tendre folie pour toi, ma douce S…….?

À l’aube, dans quelques moments que votre jeune et candide corps s’éveiller avec le soleil pour faire sourire le jour aux Portugal, tu n’avais pas une petite attirance de connaître les anciennes et ‘séculaires’ traditions sexuelles d’un amoureux transi et libertin?

Pour ma côte, c’est avec une barbare et intolérable impatience que j’attendre le rendez-vous et la pétarade de notre intimité sexuelle pour un orgasme en commun, honnête de faire le plein avec le Prix Nobel… lol


… § …


Comme un oiseaux liberté de sa cage, je regarde tous les moments mon Hotmail, attendre pour une lettre pleine de érotisme, ‘hot’ de rêves et bourrée de espérance…

Au moment, vain espoir…

Devrais j’attendre un petit encouragement?


… § …


Ces paroles insensées de désir demandant un urgent prochain rencontre, - ‘l’heure du berger’, être de taille à aloyer notre chimie personnelle… je mordre mes lèvres pour maîtriser ma langue nonchalant mais étonnant…curieux de savourer tout ton charmant corps.

Ma ‘badine’ envisage une sucrée souris près effectuer une vaginoscopie sensuelle pour jamais quelques l’oublier - pour un jour, demain, tout les deux déjà grands-parents, nous avons des mémoires chevronné de faire rougir jusqu’aux oreilles notre petit fils que se expertiseront les plus grands amoureux du monde… Fous!

Avec - comme dit I…….. - ‘mes pantalons déjà très justes’ - je t’embrasse avec barbouillage dans le point que vous aime plus de tout… oui, ce là!

… § …


Sur le tout, cette nuit regarde les étoiles dans le ciel et conçoit en nous-mêmes, retirées dans une modeste chambre, prêt a s’accomplir tout les fantaisies que embrase le cerveau et ballottée les insoumis et bouillant sexes.


Charles, 48 automnes, gentilhomme fou de désir



PS: Plus un fois, je t'enflamme…


4 Comments:

Anonymous Anónimo said...

ÈPATANT!!!!!!!(lolllohhohoohhoaahahahahahahahahahah, lolll ROFTL......ahhahahahahahhahaha,cof, cof,cof, cof....eheheheheheheh, muahahahahahaahhh.Beijos e orare, orare mucho.

sexta-feira, abril 08, 2005 3:07:00 da tarde  
Anonymous Anónimo said...

E num é k'ele, além de britâniko, fala gaulês!...... xiiiii!, quel morceau de genti homme! _ 15 bisous, muf' (gamin, en français).

sexta-feira, abril 08, 2005 3:20:00 da tarde  
Blogger None said...

trés bien, vous etes poliglote et bonne aniversaire pour toi cher ami, um baiser.

sábado, abril 09, 2005 12:50:00 da manhã  
Blogger Carlos Gil said...

Nadisso, sou é um tretas. O dicionário do Word e mais dois ao lado, calhamaços; e umas horas. Mas deu-me gozo, a cada apalavra de que procurava tradução, abriam-se novas ideias, saiu aquela salganhada que fez (ela) soltar boas gargalhadas. Enfim, une lettre avec sãgueusse, ont dit quelq'autres...

sábado, abril 09, 2005 1:09:00 da manhã  

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